Comment sauver la recherche en France ?
|Depuis 2013, les montants sont mauvais, l’apport du PIB que la France réserve à la recherche continue de diminuer du jour en jour. Elle a eu une meilleure place dans le nombre de publications scientifiques mentionnées, mais qui s’est dégradé. Avant, son domaine le plus fort se concentre sur l’analyse du passé humain réunissant l’archéologie et l’histoire. Ce document formé autour de l’intervention de 8 experts, aide à mieux connaître actuellement la signification du travail de chercheur en France : de ne recevoir que peu d’argent, mais qui doit investir tout son temps à faire de la recherche et de trouver de l’argent qu’ils ont besoin, pour accomplir leur projet.
Ce 427e numéro des « Cahiers français » évoque l’intérêt du crédit attribué aux chercheurs et à l’expansion de leurs œuvres, afin de garantir la cohérence des sociétés occidentales.
Les auteurs de ces cahiers français suggèrent des solutions pour le futur, et ce, de simplifier l’accès aux investissements européens, stimuler la coopération public-privé, travailler en groupe, etc.
La Chine est la 1ère productrice à travers le globe des apports scientifiques en intelligence artificielle (IA) avec une contribution de plus de 25%. Les États-Unis consacrent 16%. L’Inde a multiplié par quatre sa production, ce qui l’a mené en 3e place du producteur mondial et a devancé le Royaume-Uni et l’Allemagne. La France se trouve au 12e rang en 2019. Elle a été dépassée par l’Iran, le Canada, l’Espagne ainsi que l’Australie.