La France continue sa recherche pour lutter contre la variole simienne.

Depuis le début du mois de mai 2022, la variole simienne, une maladie épidémique en centre et à l’ouest de l’Afrique a subi une contamination interhumaine en France et en Europe.

Après la manifestation des premiers cas, l’ANRS, Maladies infectieuses émergentes, agence autonome de l’INSERM et le ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche et le ministère de la Santé et de la Prévention, a instauré un programme de recherche d’urgence.

À partir du 16 mai, l’ANRS, Maladies infectieuses émergentes, a relancé un outil de crise sur le volet de recherche à destination de la variole simienne. Le 1er cas de ce virus a été ramené au Royaume-Uni le 7 mai 2022.

L’agence a tout de suite instauré des activités de veille scientifique et d’information, en direction des pouvoirs publics et des médias, dans le but de garantir un résultat relié et performant pour lutter contre cette apparition.

En même temps, l’ANRS, Maladies infectieuses émergentes a accumulé une équipe pluridisciplinaire, qui constitue plus de 50 spécialistes, pour établir un bilan sur l’ampleur des connaissances scientifiques et déterminer les priorités de recherche, pour trouver la réponse à la pandémie de variole simienne en France. C’est un travail dirigé de façon rigoureuse avec la feuille de route de recherche négociée, pendant une assemblée internationale qui a été organisée par l’Organisation mondiale de la Santé, le mois de juin dernier.